La saint-glinglin
Voici l'histoire qui se conte lors d'une pause café où sur les bancs de la fac de droit qui sait si encore cette anedocte est racontée?
A une époque où les échéances de paiement étaient en référence avec les fêtes religieuses (par exemple « à la Saint-Michel »),
un débiteur malicieux avait promis à son créancier (sans doute pas très avisé) qu’il le paierait le jour de la saint Glinglin.
Le créancier ne voyant rien venir avait fini par porter l’affaire devant la justice et le tribunal avait, non sans humour (une fois n’est pas coutume), rendu le jugement suivant :
« Attendu que la Saint-Glinglin ne figure pas dans le calendrier, mais qu’il existe à la date du 1er novembre une fête collective de tous les saints qui n’ont pu y trouver place ; attendu, en conséquence, qu’il y a lieu de fixer au 1er novembre la date de la Saint-Glinglin ; par ces motifs, contradictoirement et en dernier ressort, condamne le débiteur à payer la somme réclamée avant le 1er novembre. »
bonne fête !!!
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